mardi 22 janvier 2013

On rêve d'un idéal...


On rêve d’un idéal, on le prie, on l’appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, 
on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, 
celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable.

Marc Lévy

1 commentaire:

Anonyme a dit…

A combien de vies idéales ne renonce-t-on pas simplement par crainte de ne savoir les incarner avec bonheur? Ainsi, des vies sont-elles gâchées, autant par les accidents de parcours que par incapacité à être à la hauteur de ses fantasmes : que d'adolescents pleins de fougue deviennent face à la vie des adultes (?) timorés, voire aigris.