Mon
bonheur ne dépend de personne d'autre que de moi. Il ne m'est pas donné
par les autres; je ne peux pas non plus l'obtenir des autres. Mon
bonheur ou mon malheur dépendent de mon attitude vis-à-vis de moi-même
et des expériences que je partage. Je mets un fardeau terrible sur les
épaules des autres lorsque je les rends responsables de mon bonheur. En
attendant trop des autres, je me les mets à dos et je deviens frustré et
agressif face à moi-même et aux autres. Ceci peut me donner la
sensation d'être seul au milieu de la foule.
Livre des Émotifs Anonymes
1 commentaire:
Jusqu'à un certain point; à moins qu'attendre d'autrui un minimum de respect et de solidarité soit un symptôme flagrant d'égocentrisme, lorsque l'on a tout perdu pour avoir tout donné. Nous portons en nous quelque chose qui nous apparente au divin, mais nous ne sommes pas Dieu pour avoir "l'amour qui supporte tout"; seuls très peu y parviennent; dans toutes les religions, on les appelle martyrs, connus ou inconnus.
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