mercredi 2 mai 2012

Espérance du monde

Aujourd’hui, dans la nuit du monde et dans l’espérance, j’affirme ma foi dans l’avenir de l’humanité.

Je refuse de croire que les circonstances actuelles rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.

Je refuse de partager l’avis de ceux qui prétendent l’homme à ce point captif de la nuit que l’aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.

Je crois que la vérité et l’amour, sans conditions, auront le dernier mot effectivement.

La vie, même vaincue provisoirement, demeure toujours plus forte que la mort.

Je crois fermement qu’il reste l’espoir d’un matin radieux, je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.

Chaque homme pourra s’asseoir sous son figuier, dans sa vigne, et plus personne n’aura plus de raison d’avoir peur.

Martin Luther King

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pour que personne ne connaisse plus la peur, extirper d'abord et avant tout la peur - angoisse - recroquevillée au fond de chaque être humain et qui le conduit à se comporter davantage comme un animal aux abois que comme un être humain debout, indépendamment des circonstances extérieures qui ne font que l'alimenter. S'il est indispensable d'éradiquer toutes les situations perverses, il ne faut pas négliger non plus de combattre cette "peur" ancestrale héritée de notre propre histoire et de l'histoire de l'humanité primitive, ne serait-ce qu'en prenant, comme le conseille David Servan-Schreiber, "du temps pour soi" pour faire le vide du stress accumulé et retrouver "sa" vérité et son être profond.