Aujourd’hui,
dans la nuit du monde et dans l’espérance, j’affirme ma foi
dans l’avenir de l’humanité.
Je refuse de
croire que les circonstances actuelles rendent les hommes
incapables de faire une terre meilleure.
Je refuse de
partager l’avis de ceux qui prétendent l’homme à ce point captif de la nuit
que l’aurore de la
paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
Je crois que la
vérité et l’amour, sans conditions,
auront le dernier
mot effectivement.
La vie, même
vaincue provisoirement, demeure toujours
plus forte que la mort.
Je crois
fermement qu’il reste l’espoir d’un matin radieux,
je crois que la
bonté pacifique deviendra un jour la loi.
Chaque homme
pourra s’asseoir sous son figuier, dans sa vigne,
et plus personne
n’aura plus de raison d’avoir peur.
Martin Luther
King
1 commentaire:
Pour que personne ne connaisse plus la peur, extirper d'abord et avant tout la peur - angoisse - recroquevillée au fond de chaque être humain et qui le conduit à se comporter davantage comme un animal aux abois que comme un être humain debout, indépendamment des circonstances extérieures qui ne font que l'alimenter. S'il est indispensable d'éradiquer toutes les situations perverses, il ne faut pas négliger non plus de combattre cette "peur" ancestrale héritée de notre propre histoire et de l'histoire de l'humanité primitive, ne serait-ce qu'en prenant, comme le conseille David Servan-Schreiber, "du temps pour soi" pour faire le vide du stress accumulé et retrouver "sa" vérité et son être profond.
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