Chaque hiver abrite en son cœur
Un printemps qui frisonne
Et derrière le voile de chaque nuit
se profile une aube souriante.
Khalil Gibran
Un printemps qui frisonne
Et derrière le voile de chaque nuit
se profile une aube souriante.
Khalil Gibran
1 commentaire:
La nuit et le froid de l'adversité ne sont jamais le dernier mot, ils débouchent toujours sur une aurore. En clair, l'échec est toujours en gestation d'une transcendance, il en est au moins le signe.
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