jeudi 30 novembre 2017


Comme l'on se sent frustré, déçu, en colère quand une relation familiale ou amicale prend fin. L'on trouve 1000 accusations pour blâmer l'autre sans jamais se poser la question qu'est-ce que j'ai fait pour que les choses en soient arrivées là. 
Et, même si l'on estime avoir été correct et que l'on a en rien failli à l'entretien de cette relation, il faudrait se demander, alors, quelles sont les limites que je n'ai pas posées ? A trop être conciliant, compréhensif, gentil l'on finit par donner de mauvaises habitudes aux autres, en somme à ne plus inspirer le respect... et quand, excédé, vous vous insurgez, vous êtes soudainement considéré comme étant versatile, caractériel, puéril.
Dans quelconque conflit, la responsabilité est toujours partagée, encore faut-il avoir la sincérité suffisante de le reconnaître et se remettre en question...
Et n'oublions pas ceci : à trop vouloir plaire, l'on finit assurément par déplaire 

Siham Mosaddak

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