Comme l'on se sent frustré, déçu, en colère quand une relation familiale ou amicale prend fin. L'on trouve 1000 accusations pour blâmer l'autre sans jamais se poser la question qu'est-ce que j'ai fait pour que les choses en soient arrivées là.
Et, même si l'on estime avoir été correct et que l'on a en rien failli à l'entretien de cette relation, il faudrait se demander, alors, quelles sont les limites que je n'ai pas posées ? A trop être conciliant, compréhensif, gentil l'on finit par donner de mauvaises habitudes aux autres, en somme à ne plus inspirer le respect... et quand, excédé, vous vous insurgez, vous êtes soudainement considéré comme étant versatile, caractériel, puéril.
Dans quelconque conflit, la responsabilité est toujours partagée, encore faut-il avoir la sincérité suffisante de le reconnaître et se remettre en question...
Et n'oublions pas ceci : à trop vouloir plaire, l'on finit assurément par déplaire
Siham Mosaddak

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